Dans ce travail, le chorégraphe interroge la psychologie humaine et sa capacité à vivre avec ses peurs. Une perpétuelle lutte physique et mentale contre ses propres démons pour trouver un équilibre nécessaire à la sérénité.
Dans cette expérimentation, les danseurs trouvent leurs reflets dans leurs miroirs "énergétiques" des oeuvres du peintre AKALIKA qui sont projetées sur des rouleaux verticaux pour créer une scénographie interactive.
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Création: 2015
Durée: 60 min
Direction artistique et chorégraphie: Olé Khamchanla
Interprètes: Alice Chihya Peng, Lola Kervroedan, Emeline N'Guyen, David Bernardo, Anthony Michelet, Rafaël Smadja, Olé Khamchanla
Musique: Léo Jourdain
Lumière: Lise Poyol
Vidéo: Jessica Farinet
Crédit photos: Jessica Farinet
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Production : Compagnei KHAM
Coproduction: Le Pacifique I CDC Grenoble, Le TARMAC scène internationale francophone Paris, l’Espace Paul Jargot à Crolles,
le Centre de Développement Chorégraphique Les Hivernales Avignon
Soutiens : DRAC et Région Auvergne - Rhône-Alpes, Conseil Général de la Drôme, Institut Français de Singapour,
National Arts Council de Singapour, Spedidam,
Résidences de création : Le Pacifique I CDC Grenoble, Frontier Danceland studio à Singapour, Espace Jargot à Crolles, Pôle Pik, Théâtre de Privas.
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Diffusion
2018
AVRIL-------------------------------------- 5 - Théâtre du Vellein - Villefontaine
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Presse
" Olé Khamchanla conjugue ses origines laotiennes avec un univers plastique pour se lancer, avec six autres danseurs, dans une pièce toute d'ombres et de poésie. "
N. Yokel, La Terrasse
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" Akalika7 ressemble à une traversée agitée du Styx, peut déployer une énergie proche de la danse africaine et des images de corps rappelant l'ankoku butô, l'avatar le plus ténébreux de cette danse japonaise inspirée d'Artaud et d'expressionnisme. Les sept interprètes déploient une énergie vitale et rebelle impressionnante."
T. Hahn, Danser-canal historique
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"Le chorégraphe parvient à produire une pièce sans aucune prétention gestuelle, sans jamais de recherche virtuose, et toujours parfaitement agencée. Après avoir martelé son propos à coups de galets amplifiés ne faisant aucune étincelle, Olé Khamchanla ralentit le tempo à l’extrême dans la variation (qu’il nous offre à visage couvert par une abondante chevelure), vers le finale de son opus."
N. Villodre, Mouvement.net
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